Cédric marchait vers le lac où le reflet argenté de la Lune flottait paisiblement à la surface de l'eau. Il relechissait sur les grandes questions de ce monde, les questions qu'on se pose en invitant un ami à dormir, où près d'un feu de camp. Des questions comme , qui sommes nous dans ce triste monde, pourquoi l'univers n'a jamais eu de début, comment sommes nous passés de poussière galactique à ingenieurs ou encore même sorciers, qui a t'il après la mort... Il s'assit dans l'herbe regardant les étoiles, sentant la douce caresse du vent nocturne caresser ses cheveux blonds, les oiseaux nocturnes hululer et le clapotis de l'eau.Cédric désirait voir le soleil se coucher une nouvelle fois, le voir mourir derrière les hautes montagnes et laisser derrière lui un ciel orangé. Habillé d’un sweet avec le blason de sa maison et une capuche sur la tête, il descendit paisiblement un petit chemin de terre, suivit de près par un petit chaton gris aux yeux verrons, trottant silencieusement derrière lui. Cedric se rendit en direction du lac, là où le soleil offrait ses derniers rayons à ceux qui eurent le plaisir de le voir s’endormir… Il s’assit sur l’herbe et contempla le ciel orangé d’un air rêveur. Le chat se posa près de lui et commença à se lécher les pattes, tandis que le garçon admirait un spectacle des plus grandioses. Ce fut à ce moment qu’il pensa à ses seuls amis qui croyait encore en lui et qu’il n’avait pas revu depuis un bon long moment…
j'attendit que les derniers rayons disparaissent complètement derrière les montagnes pour se redresser. N’ayant pas remarqué le chat qui ronronnait dans l’herbe, je le prît délicatement et caressa son poil tout en avançant vers l’école. La plupart des élèves, à cette heure là, mangeaient dans la grande salle ou étaient dans la bibliothèque. Le jeune homme décida premièrement de rejoindre un salon situé dans un coin sombre d’un étage. Je posa le chat dans les grands escaliers et s’aventura dans les couloirs du château. Après un court moment, Je M'assit sur un des fauteuils de cuir, jettant un regard sur cet endroit dérobé : Ce salon était situé dans un angle, entre un escalier et un couloir.Il soupira puis s’accouda au bras du fauteuil, la paume de la main contre sa joue, l’air boudeur, déçu de n’avoir aperçu quelqu’un depuis son entrée.Il se leva d’un bond et accouru pour peut être reconnaître quelqu’un. Mais aucun ami. Cedric serait-il seul ?